Essentiel n°24
Piratage audiovisuel et sportif: un manque à gagner d'un milliard d'euros en 2019 Bien qu’en baisse tendancielle grâce à l’action des pouvoirs publics conjuguée à celle des ayants droit, le piratage concerne néanmoins encore plus de 11 millions d’internautes chaque mois. Si certaines pratiques de piratage - le pair à pair en particulier - ont drastiquement diminué, d’autres, comme le streaming et le téléchargement direct, se maintiennent à des niveaux élevés, tandis que de nouvelles pratiques, comme l’IPTV illicite et le live streaming, connaissent une progression notable. Retrouvez : |
Essentiel n°23
Baromètre de l'offre légale 2019 : 87% des consommateurs satisfaits par les services d'offre légale Au titre de sa mission d'observation des usages sur internet, l’Hadopi mesure et analyse depuis 2011 la consommation des biens culturels dématérialisés et leur perception par les internautes. Le Baromètre de l'offre légale évalue la satisfaction des consommateurs à l’égard des offres légales. Cette nouvelle édition prend en compte neuf catégories de contenus numériques : musique, films, séries, photos, jeux vidéo, logiciels, livres numériques, contenus de presse en ligne et retransmissions d’événements sportifs en direct. Retrouvez : |
Essentiel n°22
Le rôle central des plateformes de streaming musical dans l'accès et la découverte de la musique : 82% de leurs utilisateurs ont recours à leurs outils de recommandation L'écoute de musique est une pratique culturelle désormais très ancrée dans la vie des Français : 90% déclarent en écouter, dont 49% de manière quotidienne. Cette écoute passe en priorité par Internet avec 83% d'amateurs de musique qui procèdent à son écoute en ligne, contre 78% ayant recours à d'autres modes d'accès physiques (CD, disques vinyles, radio, etc...). Cette étude a été conduite en deux phases, qualitative et quantitative, entre septembre et décembre 2019. Retrouvez :
|
Essentiel n°21
Le référencement de l'offre légale sur les moteurs de recherche. Etude Linkstorm 2.0 Dans le cadre de sa mission d'encouragement au développement de l'offre légale, L'Hadopi a évalué la visibilité de l'offre légale des films dans les moteurs de recherche en actualisant une étude précédemment publiée en 2013. Cette nouvelle étude a été réalisée en deux temps : une étude quantitative a d'abord permis d'identifier les mots clés utilisés sur les moteurs de recherche par les internautes lorsqu'ils souhaitent trouver un film, puis les combinaisons issues de l'association entre les différents mots-clés et les films ont été testées pour le recherche de plusieurs films. Retrouvez :
|
Essentiel n°20
Rapport CSPLA / Hadopi / CNC : Vers une application effective du droit d’auteur sur les plateformes numériques de partage : Etat de l'art et propositions sur les outils de reconnaissance des contenus L’article 17 de la directive européenne sur le droit d’auteur dans le marché unique numérique devrait donner une portée renforcée aux outils de reconnaissance de contenus déjà mis en place par les plateformes, en les transformant en dispositifs prévus et encadrés par le droit. Dans ce contexte, le Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique (CSPLA), le Centre du cinéma et de l’image animée (CNC) et l’Hadopi se sont associés pour mener une mission conjointe, visant notamment à réaliser un état de l’art des technologies existantes en la matière et à évaluer leur efficacité. Retrouvez :
|
Essentiel n°19
Essentiel n°18
![]() |
Baromètre de la consommation de biens culturels dématérialisés 2019 : une consommation légale payante en hausse et des pratiques illicites en recul Dès 2011, l’Hadopi a mis en place un baromètre de la consommation de biens culturels dématérialisés, mesurant les usages culturels en ligne de sept biens culturels : musique, films, séries, photos, jeux vidéo, logiciels et livres numériques. L'édition 2019 voit s’élargir le périmètre d’observation avec l’ajout de la presse en ligne et des retransmissions d’événements sportifs. On observe plusieurs signaux positifs concernant les pratiques culturelles en ligne en faveur de l’offre légale, avec un recul de la consommation illicite au profit de pratiques uniquement légales et une propension à payer en hausse, encouragée par des offres d’abonnement de plus en plus attractives. Cette nouvelle édition montre aussi une certaine forme de renouvellement des pratiques illicites, qui appelle à un maintien de la vigilance à leur encontre. Retrouvez :
|
Essentiel n°17
Essentiel n°16
Essentiel n°15
![]() |
La consommation illicite de programmes TV en direct concerne déjà un quart des internautes L’accès illicite aux programmes télévisés en direct est pratiqué par environ un quart des internautes de 15 ans et plus. On distingue trois modes d’accès illicites principaux : le plus répandu et le plus ancien est le live streaming d’événements sportifs via des sites dédiés qui touche 17 % des internautes ; l’accès aux programmes diffusés en live sur les réseaux sociaux par les utilisateurs qui concerne 14 % des internautes ; enfin, apparue plus récemment, l’IPTV illicite via des logiciels et applications spécifiques, intégrés ou non à un boîtier à brancher sur le téléviseur, à laquelle ont actuellement recours 5 % des internautes. Ces services illicites exposent leurs utilisateurs à des risques réels : virus, malwares, publicités intempestives ou piratage de leurs données bancaires. L’IPTV illicite présente également un risque élevé de cannibalisation pour l’offre légale : 54 % de ses utilisateurs se sont déjà désabonnés d’une offre légale.. Retrouvez :
|
Essentiel n°14
Essentiel n°13
Essentiel n°12
![]() |
Consommation culturelle en ligne des 15-24 ans : une propension à payer supérieure aux autres consommateurs ! Ultra-connectés à Internet, fortement consommateurs de biens culturels dématérialisés, les études d’usages récentes menées par l’Hadopi confirment les tendances déjà bien connues concernant les pratiques numériques des Digital natives. Leur rapport à la licéité et leur consommation révèlent un tableau plus complexe. Très habile en ligne, la population des 15-24 ans se montre également très versatile dans ses usages culturels dématérialisés : gratuits et payants, licites et illicites, les jeunes internautes recourent à une variété de modes d’accès aux œuvres. Exigeants, ils évaluent le rapport coût / bénéfice des offres légales et acceptent de payer dès qu’ils en ont les moyens - souvent à partir de 20-22 ans -, pour accéder à des services par abonnement qu’ils estiment facilement accessibles et à forte valeur ajoutée.
|
Essentiel n°11
![]() |
Une offre légale qui séduit de plus en plus de consommateurs.
Dans le cadre de sa mission légale d'observation des usages licites et illicites, l'Hadopi publie deux baromètres annuels permettant de renseigner les indicateurs prévus par le décret n°2011-386 du 11 avril 2011 et de mesurer l'évolution des usages de biens culturels dématérialisés ainsi que les freins et motivations à ces pratiques.
|
Essentiel n°10
![]() |
Les 15-24 ans : un rapport paradoxal à la création, entre valorisation des "petits" artistes et rejet du "système". Nés dans un monde numérique d’abondance et de gratuité, les 15-24 ans partagent une vision paradoxale du droit d’auteur – entre valorisation de la création et rejet de son système de financement – et assument le passage à une économie de l’attention où désormais le nombre de vues généré prime sur toute considération. Au-delà d’un effet générationnel, souvent désigné par l’expression « digital natives », l’analyse des usages des jeunes de 15 à 24 ans fait apparaître une diversité de profils avec des pratiques culturelles en ligne qui varient, en fonction des étapes de vie et de l’âge, mais aussi du milieu social. La sensibilisation des jeunes publics à l’importance du droit d’auteur et au respect de la création doit s’adapter, tant en termes de messages que de tonalités : le discours générationnel trouve ici ses limites.
|
Essentiel n°9
![]() |
La mixité des usages licites et illicites au cœur des stratégies d'accès aux musiques, films et séries en ligne. Au-delà de parcours d’accès illicites relativement routiniers privilégiant le recours à des sites déjà connus, une multitude de modes d’accès illicites de niche se développent (en mobilité, sur les réseaux sociaux, etc.). Cette diversité des pratiques, tant en termes de licéité que de mode d’accès, appelle une pluralité d’actions pour la protection de la création.
|
Essentiel n°8
![]() |
Conversation en ligne et accès aux œuvres dématérialisés : l'internaute au cœur d'un réseau d'influence. Si les sites illicites apparaissent comme les premiers émetteurs en termes de nombre de publications, les internautes eux-mêmes sont à l'initiative d'un volume important de conversations, notamment sur les forums et les réseaux sociaux, pour demander ou prodiguer des conseils, ou encore faire part de leur expérience des plateformes illégales, tant positive que négative. A l'inverse, un certain nombre d'internautes eux (ex) usages illicites interviennent pour faire part de leur satisfaction à l'égard des plateformes légales et du confort qu'elles offrent, notamment au travers des formules d'abonnement.
|
Essentiel n°7
![]() |
Le développement de la consommation de biens culturels dématérialisés par l'accès multisupport : un levier de consommation légale ?
|
Essentiel n°6
![]() |
La diffusion de la bande dessinée numérique A la suite de l'étude sur "les perceptions et les usages du livre numérique", réalisée en 2014, l'Hadopi a souhaité approfondir sa compréhension de l'impact de la numérisation du livre en étudiant plus spécifiquement le cas de la bande dessinée dite "franco-belge" et du manga dématérialisés. Cette étude vise à dresse un état des lieux de la diffusion légale des bandes dessinées et mangas dématérialisés en France.
|
Essentiel n°5
Essentiel n°4
![]() |
Zone Telechargement : le processus de réplication d'un site pirate Dans le cadre de sa mission légale d'observation de l'utilisation licite et illicite des œuvres sur Internet, l'Hadopi a souhaité étudier comment le site Zone Telechargement a pu revenir en l'espace de quelques mois en position de leader sur la scène pirate francophone, en examinant en particulier comment et à quelle vitesse le remplaçant de zone-telechargement.com s'est développé, quels sont les contenus disponibles sur ce site et qui a contribué à ce retour fulgurant.
|
Essentiel n°3
En 2017 la progression de la consommation de biens culturels dématérialisés s'accompagne d'une augmentation des pratiques mixtes, à la fois licites et illicites
Dans le cadre de sa mission légale d'observation des usages licites et illicites, l'Hadopi publie deux baromètres annuels permettant de renseigner les indicateurs prévus par le décret n°2011-386 du 11 avril 2011 et de mesurer l'évolution des usages de biens culturels dématérialisés ainsi que les freins et motivations à ces pratiques.
|
Essentiel n°2
Consommation illicite d’œuvres culturelles dématérialisées : une exposition plus forte aux risques en ligne
Étude quantitative réalisée par l’Ifop, à partir d’un échantillon représentatif de 1021 internautes de 15 ans et plus et un sur-échantillon de 516 consommateurs de biens culturels dématérialisés aux usages illicites.
|
Essentiel n°1
Les 8-14 ans : l'émergence d'une génération de « Smartphone Natives »
Étude qualitative menée en Île-de-France en novembre et décembre 2016 par l’institut June Marketing – MSM pour Hadopi.
|